Saturday, August 18, 2007

FLANDES THE NEXT STATE IN EUROPE - CATALONIA THE NEXT STATE IN EUROPE


FLANDES PODRIA SER UN NOU ESTAT DE LA UNIÓ (Loster)
smolins9 | esborrar | diumenge, 19 d'agost de 2007 | 04:29h

BÈLGICA ES POT DESINTEGRAR .

FLANDES PODRIA SER UN NOU ESTAT DE LA UNIÓ EUROPEA MÉS AVIAT DEL QUE ENS PENSEM .

CATALUNYA ! ESPAVILA'T !
(Tramès per en Loster)


"Formation du gouvernement belge : le roi suspend les négociations"

LE MONDE | 18.08.07 | 11h41 • Mis à jour le 18.08.07 | 11h41

Bruxelles, correspondant


Soixante-huit jours après les élections, la Belgique en est revenue à son point de départ : constatant, vendredi 17 août, que les positions des formations flamandes et francophones qui tentent de former un gouvernement étaient inconciliables, le roi Albert II a repris la main. Il a convoqué successivement les présidents des quatre partis censés former, un jour, une équipe ministérielle de centre-droit baptisée "l'orange bleue", parce qu'elle associerait la couleur des chrétiens-démocrates et celle des libéraux.


http://pubs.lemonde.fr/


La mission d'Yves Leterme, le formateur désigné, membre du CD & V (chrétiens- démocrates flamands), a été "suspendue". Cette initiative royale suit d'autres épisodes inédits,commel'annonce d'une probable concertation entre tous les partis francophones, de la majorité et de l'opposition, afin de préparer une riposte commune à des exigences flamandes jugées inacceptables. Au cours des derniers jours, les partis flamands ont déposé un impressionnant catalogue de revendications institutionnelles.

Ils demandent, entre autres, unerégionalisation (partielle) de l'impôt sur les personnes et les sociétés, des allocations familiales, du code de la route, de l'octroi des plaques minéralogiques, etc. Le pouvoir des régions serait accru en matière de justice, de transports, de conventions de travail ou de remboursement de médicaments. Les ordres professionnels seraient scindés, les régions fixeraient leurs propres conditions à l'octroi de la nationalité.



"DÉPEÇAGE" DE L'ETAT FÉDÉRAL

Ces revendications ne font pas allusion à la scission de l'arrondissement bilingue de Bruxelles-Hal-Vilvorde, qui semble aller de soi pour les responsables flamands. Or, les francophones s'y opposent, afin de protéger les droits de quelque 150 000 d'entre eux qui vivent sur le sol flamand, dans la périphérie de Bruxelles.

Plus généralement, les partis francophones s'opposent à ce qu'ils appellent le "dépeçage" de l'Etat fédéral, menacé de devenir une coquille vide. En guise de riposte, ils ont donc sorti un plan demandant l'extension des limites de la région de Bruxelles, une consultation populaire dans sa périphérie et une remise en cause de la représentation politique garantie aux"Flamands de la capitale"."Inacceptable", ont répondu les négociateurs néerlandophones, qui refusent tout report des discussions sur les points majeurs de leur programme, même s'ils nécessitent souvent une majorité "spéciale" – deux tiers des voix dans les deux assemblées –, ce dont ne disposerait pas "l'orange bleue".

Constatant le blocage, M. Leterme a fait rapport à Albert II. Celui-ci pourrait-il infléchir la position des uns et des autres ? De nombreux observateurs étaient dubitatifs et envisageaient l'hypothèse d'un échec de la négociation. Het Laatste Nieuws, le plus gros tirage de la presse flamande, conseillait, lui, aux francophones de plier : "Si [leur] attitude mène à un scénario à la tchécoslovaque pour notre pays, les chômeurs, les malades, les invalides, les familles de Bruxelles et de Wallonie en paieront le prix. Et M. Sarkozy, de Paris, ne viendra pas à Bruxelles avec un chèque", écrivait, vendredi, son éditorialiste.





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"Flanders could be a next free state in the European Union in the next ten years . Why not Catalonia ? "


King ends first round of talks

This morning, King Albert received the leader of the Francophone Christian democrats Joëlle Milquet and her Flemish colleague of the liberal party Bart Somers. After the talks held yesterday evening with Flemish Christian democrat leader Jo Vandeurzen and French speaking liberal leader Didier Reynders, the King will now try and defuse the explosive situation that resulted from the failed negotiations on the formation of a new government.

The exact contents of the meetings with the King have not been disclosed.



Neither Mrs Milquet nor Mr Somers wanted to give comment as they drove through the gates of Belvédère Castle, the King’s private home in the municipality of Laken.

Didier Reynders was slightly more talkative as he left the gates last night. According to the MR leader, it would become clear on Sunday evening whether an agreement between the different parties had been reached.

Still according to Mr Reynders, the negotiations on the government formation would then resume on Monday or Tuesday at the latest.


Unprecedented royal intervention

The news of the King’s intervention in the crisis was announced yesterday afternoon, after King Albert had received formateur Yves Leterme (Flemish Christian democrat, photo).

In a communiqué, the Palace announced King Albert was to held political consultations with the political party leaders over the weekend. During that time, the communiqué said, the actual formation talks lead by Mr Leterme would be put on hold.



As such, the statement left in the open whether all political parties would be involved or just those four that have won the June elections.

The initiative for this highly unusual procedure is reported to have come from Mr Leterme himself.

In deadlock after the negotiations between the Flemish and French speaking parties had fallen through over the communal issues, Mr Leterme felt he had no other option left.

The French speaking negotiators refuse to accept the Flemish demands, such as the introduction of Flemish number plates or the transfer of the competence of Labour and Employment to the regions and say they are aimed at fleecing the federal state.

The Flemish parties are indignant about the French speakers’ counterclaims.

These involve the expansion of the Brussels region at the cost of Flanders and the abolition of certain rights of the Flemish living in the capital.

It is not yet clear what will happen next. Yet it is thought likely that the King will invite Mr Leterme for another audience at the Palace.



(Informació enviada per Loster.)

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